Il y a un mois, en déclarant « trop, c’est trop ! » aux gouvernements du monde entier, l’ITF et
Pour l’équipage du chimiquier Giancarlo D, Luz Baz et l’ITF sont un don du ciel.
La Fédération internationale des ouvriers du transport (ITF) et le Maritime Union of Australia (MUA) estiment que le gouvernement fédéral australien s’est endormi à la barre alors que la crise de la relève des équipages s’enlise – mettant ainsi en péril le commerce, l’économie austral
La Fédération internationale des ouvriers du transport (ITF) a qualifié aujourd’hui l’enquête du gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud sur le Ruby Princess d’« écran de fumée » jeté sur les défaillances du gouvernement lors de la deuxième phase de la s
Le gouvernement mauricien a récemment annoncé que ses propres marins pouvaient enfin revenir au pays, eux qui, par milliers, sont piégés sur des navires un peu partout dans le monde.
Les syndicats de gens de mer exercent de nouvelles pressions sur les gouvernements du monde entier pour que ceux-ci autorisent les relèves d’équipages, plus de 200 000 marins étant actuellement piégés à bord de leurs navires et travaillant alors que leu
La course à l’élaboration d’une réponse au Covid-19 permettant d’enrayer le virus, de protéger les personnes et de relancer les économies dévastées, constitue une priorité absolue.
La Fédération internationale des ouvriers du transport (ITF) vient en aide à des centaines de gens de mer actuellement confinés à bord des six navires de Global Cruise Lines à Tilbury et Bristol, au Royaume-Uni.
Une distance de 11 086 kilomètres sépare São Sebastião, au Brésil, de Kiev, la capitale ukrainienne.
Alors que la pandémie de Covid-19 et les restrictions de voyage visant à la contenir s’éternisent, près de 200 000 gens de mer de la marine marchande sont pris au piège de leur navire en violation du droit international.
